Balthazar est le nom d'un résident permanent d'une jardinerie à la sortie de Colomiers. Je trouve que le perroquet est un animal fascinant. Avec prudence (son bec peut pincer avec force), Balthazar se laisse caresser et aime jouer. Il jetait une feuille de salade à l'extérieur de sa cage puis réclamait que je la lui rende afin de recommencer, à plusieurs remprises, ce cycle d'échanges ludiques.











C'est toujours attristant de voir un oiseau en cage même si Balthazar semble très heureux (sa cage est grande), mais je dois reconnaître avoir ainsi le plaisir d'approcher de très près un perroquet.











Une voie réservée aux piétons et cyclistes (et trottinettes) longe la Garonne. Elle relie l'ouest de Toulouse (depuis le quartier Purpan) au centre de la ville.











Le jardin Raymond VI (1194-1215, comte de Toulouse) jouxte les anciens abbatoirs devenus un musée d'art moderne (dit "Les Abbatoirs"). Depuis 2009, un "boyau monumental" (sculpture d'art moderne réalisée par l'artiste autrichien Franz WEST) est installé dans le jardin Raymond VI.











Le bord de Garonne depuis le jardin Raymond VI.











Une partie du musée "Les Abbatoirs".











Le jardin Raymond VI couvre 2,5 hectares et longe un mur (ancien rempart de la ville) derrière lequel se situe l'hôpital La Grave.











Toujours en activité, l'hôtital La Grave existe depuis la fin du XIIe siècle.











Dans l'enceinte de l'hôpital, la chapelle Saint-Joseph de La Grave. Pendant le Moyen Âge, cet hôpital abrita les populations atteintes de la peste et plus tard, elle servit de lieu de grand renfermement des mendiants, prostituées et aliénés.











La chapelle Saint-Joseph de La Grave (suite).











Le dôme de la chapelle Saint-Joseph de La Grave.











Pas très éloignés l'un de l'autre: l'hôpital de La Grave et la Place du Capitole.











La Cathédrale Saint-Étienne.











La Cathédrale Saint-Étienne (suite).











La Cathédrale Saint-Étienne (suite).











Sur le chemin du retour ...











Datant de 1840, l'écluse Saint-Michel est la seule sur la Garonne. Elle est située à la conjonction de deux bras de la Garonne formant ainsi l'Île du Ramier.